Qui suis-je ? Ma vie de rédacteur normand

Nicolas Lafarge, rédacteur jeu vidéo, gaming, numérique
J’ai toujours adoré la photo des écrivains qu’on trouve au début ou à la fin des romans — cette fameuse photo où l’on voit l’auteur en pleine réflexion sur le sens de la vie. Je n’ai toujours pas publié de livre, mais au moins, la photo est déjà prête.

Nicolas Lafarge (c’est moi),
rédacteur freelance à Rouen

👋🏻 Bienvenue à vous qui lisez ces lignes ! Je me présente : Nicolas Lafarge (jusque-là, ça ne doit pas être une surprise : c’était écrit en gros un peu partout), rédacteur freelance à Rouen — celle que l’on surnomme à juste titre « la ville aux cent clochers », et la charmante capitale de la Seine-Maritime, en Haute Normandie.

(Oui, je suis quelque peu chauvin quant à ma région : bien que je vive la vie d’un digital nomad, comme on le dit aujourd’hui dans la startup nation, et bien que l’héroïne de mon enfance soit l’aventurière et globetrotteuse Lara Croft, je me décris davantage comme un casanier amoureux de son bercail que comme un baroudeur de l’extrême).

Je suis diplômé d’un Master en Communication, j’ai travaillé pendant quatre ans au service Communication institutionnelle de La Française des Jeux, et j’ai suivi une formation en rédaction SEO avant de me reconvertir en tant qu’indépendant.

Ça, c’est la version courte et (à peu près) corporate de mon histoire. Pour le reste, ça se passe ci-dessous.


C’est une bonne situation, ça, rédacteur ?

🪶 En tant que rédacteur indépendant, je propose mes services – écrire toutes sortes de contenus pour soigner sa communication et optimiser son site Internet – aux entrepreneurs et aux entrepreneuses, aux blogueurs et aux blogueuses, aux médias en ligneurs et aux médias en ligneuses (bref, à tous ceux et à toutes celles qui ont besoin d’une plume).

🏙 J’habite à Rouen, en Normandie (on le saura) — une ville qui ne ressemble pas du tout à celle qui est illustrée dans cet emoji, mais je trouvais que ça faisait joli.

🐕‍🦺 Mon unique collègue de travail est un Labrador croisé Lévrier du nom de Milo (il avait jadis son propre compte Instagram ; oui, je l’assume, j’ai fait partie de ces gens-là, mais je me suis soigné).

👨🏻‍💻 Je suis l’auteur de plusieurs sites web : Des mots qui marquent, un blog d’écriture créative et narrative, et Artcore Gamer, un site dédié au jeu vidéo.

🎮 Quand je n’écris pas, il est probable que je sois en train de jouer à un jeu vidéo : c’est ma passion la plus inépuisable, et ce depuis ma plus tendre enfance.


Mais qui es-tu vraiment, Nicolas ?

Comment ça, vous voulez encore en savoir plus sur moi ? Je vous trouve décidément bien curieux ! (Oui, je sais que c’est moi qui ai posé la question ; et non, je ne suis pas schizophrène, bien qu’il m’arrive de parler tout seul)

Puisque vous tenez absolument à connaitre la vie de l’auteur de ces lignes – et l’éventuel auteur de vos futurs contenus – je vous invite à continuer votre lecture pour obtenir les réponses à vos interrogations les plus brûlantes, telles que :

1️⃣ Qui es-tu ? (Nicolas Lafarge, mais ça, c’était déjà acté)
2️⃣ Quelle est ta couleur préférée ? (le vert)
3️⃣ Est-ce que tu aimes la nourriture épicée ? (oui)
4️⃣ Pourquoi devrais-je te confier à toi et à personne d’autre l’écriture de mes contenus ? (parce que sinon, je n’aurai plus de sous pour payer mon loyer)

➡️ Bon, et surtout, je vais vous expliquer comment je suis devenu rédacteur, car je crois que c’est ça, le plus important. Alors, installez-vous confortablement, faites-vous chauffer une tasse de café (désolé, j’ai une obsession pour le café — très original, un freelance drogué au café ☕️), je vous embarque dans mon histoire.

Un conteur d’histoires puis un écrivain en herbe

Je suis né dans la belle campagne euroise, c’est-à-dire la campagne de l’Eure, c’est-à-dire la campagne de la Normandie — et j’aurais sans doute dû commencer par là, car tout le monde connait la Normandie, mais personne ne connaît l’Eure.

Il n’empêche que c’est bel et bien là que j’ai grandi, dans une maison en face d’un champ, et je pourrais vous filer une jolie métaphore inspirante pour vous dire que ce champ, eh bien c’était le champ des « possibles » qui m’a permis de tracer ma voie jusqu’à vous, mais la vérité, c’est que ce n’était rien de plus qu’un champ de colza, et qu’il est fort « possible » qu’il soit responsable de l’asthme chronique que je me traîne encore à l’heure actuelle.

Lorsqu’on grandit à la campagne, avec une connexion Internet plus lente que la lenteur elle-même, et sans aucun moyen de transport pour rendre visite à ses amis (Les Misérables, Victor Hugo, 1862), on apprend assez vite à développer son imagination.

Il ne se passe pas une minute sans que je conçoive mille-et-uns scénarios dans mon esprit. J’invente des récits d’aventure dont je suis le héros, et je deviens le metteur en scène de mes propres exploits (Steven Spielberg, le gars). Raconté ainsi, tout cela sonne très poétique, mais la réalité, c’est que je suis un petit garçon qui marmonne tout seul à longueur de journée (non, je le répète, je ne suis pas schizophrène), sous le regard inquiet de ses parents qui se demandent s’ils n’ont pas enfanté un remake de L’Exorciste.

Photo de mon chien
Néo, mon Labrador, second rôle récurrent de mes scénarios d’aventurier.

J’apprends à lire et (surtout) à écrire dès l’âge de cinq ans. Je suis en CE1 lorsque j’invente ma toute première histoire en bonne et due forme : le récit d’un petit garçon qui franchit un portail magique et accède à un univers enchanté (original). Pas peu fier de ma création (comment ça, c’est Le Monde de Narnia ?), je m’empresse d’imprimer cette nouvelle préalablement tapée au clavier sur l’ordinateur familial, et de la partager avec mes camarades et ma maîtresse d’école. Celle qui devient dès lors ma première critique littéraire s’exclame aussitôt auprès de ma mère : « Je garde cette nouvelle précieusement, pour la revendre à prix d’or le jour où il deviendra un écrivain célèbre » (elle se voyait déjà acheter une villa aux Maldives, celle-là).

Je suis au regret de vous annoncer que non seulement je n’ai jamais revu cet ouvrage, puisque ma maîtresse me l’a volé (et qu’il doit aujourd’hui servir à caler un meuble de sa maison, en Normandie et non aux Maldives), mais qu’en plus, je ne suis pas devenu un écrivain célèbre. Conclusion : professeure des écoles et voyante sont deux métiers différents ; n’est pas Phoebe Halliwell qui veut.

Ce qui ne signifie pas que je ne pratique plus l’écriture, loin s’en faut : à l’école, quand on me demande de rendre une rédaction d’une page, la mienne en comporte cinq (oh le fayot) ; au collège, je remporte un concours de nouvelles (bon, ok, il n’y avait que trois participants, on ne parle pas d’un prix Goncourt non plus) ; au lycée, je me tourne naturellement vers la section littéraire (essentiellement pour éviter les mathématiques, ne nous voilons pas la face).

Après le lycée, une autre prédiction de ma maîtresse d’école se réalise (c’était une chance sur deux) : elle avait parié avec mes parents que je finirais en hypokhâgne. Je me dirige donc vers la classe préparatoire littéraire, où je deviens un as de la dissertation, et où je cultive encore l’art d’argumenter à l’oral et (surtout) à l’écrit.

Bref, j’ai toujours eu l’envie d’écrire, la passion d’écrire, le besoin d’écrire : un désir ardent de raconter des histoires, une imagination débordante qui ne tarit jamais.

➡️ Pourtant, si je n’hésitais pas à faire lire mes histoires, pourtant bien modestes, durant mon enfance ; arrivé à l’âge adulte, j’ai commencé à rougir de cette capacité à écrire, et à cacher les fruits de mon imagination. Ce n’est qu’en 2019 que je me décide à créer le blog Des mots qui marquent, sur lequel je publie les pensées, les poèmes, les nouvelles que j’écris au quotidien. En parallèle, je me lance dans l’écriture d’un roman — qui, si je l’achève un jour, me servira de monnaie d’échange pour récupérer ma nouvelle auprès de ma maîtresse de CE1.

Un geek littéraire puis un blogueur gaming

Je vous ai dit que j’avais grandi à la campagne sans Internet ni moyens de transports, mais je n’irai pas jusqu’à vous sortir le fameux couplet « moi, à ton âge, je m’amusais avec une corde et un bâton » car primo, je n’ai pas 70 ans, et deuzio, je m’amusais avec une Game Boy et une PlayStation.

Vous l’aurez compris, je suis un fan de jeux vidéo. Né en 1996, l’année de la sortie de Tomb Raider, Pokémon, Crash Bandicoot et Resident Evil, je grandis aux côtés de ces séries cultes, pour lesquelles je garde encore un attachement tout particulier.

Faute de vivre des aventures palpitantes à l’extérieur, je me nourris des péripéties que je vis dans les jeux. Des histoires qui continuent de prendre vie dans mon esprit même une fois la console de jeux éteinte : dans mon jardin, je cours après mon chien et je me vois en Lara Croft pourchassant des loups (alors que je suis Nicolas Lafarge poursuivant un Labrador).

Il ne faudra pas attendre longtemps pour que mon amour des mots rencontre ma passion pour les jeux vidéo. Enfant, je m’amuse à réécrire les manuels et les guides stratégiques des différents jeux auxquels je joue (toujours sur mon clavier d’ordinateur) ; adolescent, j’écris mes premières fan fictions mettant en scène le personnage de Lara Croft (celles-ci, je les ai gardées, mais je préfère ne pas vous les dévoiler pour d’évidentes raisons de réputation professionnelle).

On me dit souvent qu’avec l’âge, cette passion me passera (le cliché selon lequel le jeu vidéo est un loisir pour enfants est tenace), mais le fait est que celle-ci ne fait que grandir.

Rédacteur gamer jeu vidéo Lara Croft Tomb Raider
Difficile de séparer Lara Croft de mon récit personnel : elle est l’héroïne qui m’a le plus inspiré dans mon enfance, par son courage, sa détermination, et son sens de la répartie. Ses capacités sportives, en revanche, n’ont étrangement jamais déteint sur moi.

À l’âge de quatorze ans, je rejoins l’équipe de Captain Alban, un site Internet intégralement dédié à l’univers du jeu vidéo Tomb Raider — et si vous le connaissez, je suis certain que c’est parce que vous y avez cherché une soluce à un moment donné de votre vie. Pendant près de dix ans, je rédige articles, tests et reportages autour des différents épisodes de ma franchise vidéoludique préférée, tout en animant et en modérant une communauté de fans sur les (très populaires) forums de discussions accolés au site.

En 2015, l’un de mes professeurs d’hypokhâgne commet l’outrage ultime : déclarer que « les jeux vidéo sont tellement violents qu’ils font de nous des terroristes en puissance » (un cliché encore plus tenace). Pour moi qui ai toujours grandi grâce aux jeux, c’est un affront. Je me sens dépassé par tant de bêtise, et je sens alors un déclic se produire. Je sais désormais que ma plume me servira à défendre le jeu vidéo coûte que coûte, et à contribuer à changer les regards et les mentalités sur ce support culturel qui m’apporte tant.

➡️ Je créé alors le blog Artcore Gamer, un jeu de mots sur l’expression hardcore gamer, qui désigne un joueur acharné, auquel j’ai greffé le mot « art » ; car oui, j’en suis convaincu, le jeu vidéo est un art, au même titre que la littérature ou le cinéma. Depuis, je publie sur ce site différents avis et analyses sur les jeux dont j’apprécie la valeur artistique et culturelle.

Un étudiant puis un pro de la communication

Après l’hypokhâgne, puis la khâgne, je quitte la Normandie pour la capitale – moins de champs de colza, beaucoup plus de pollution, toujours autant d’asthme – et je m’oriente vers une Licence puis un Master en Communication.

Mon objectif : concilier toutes mes appétences et toutes mes facultés, pour travailler au service Communication ou Marketing d’une grande entreprise, de préférence dans le secteur du divertissement et des loisirs (toujours cet amour du ludisme !).

J’apprends le fonctionnement des médias, les subtilités des réseaux sociaux, la gestion de projets — autant d’armes qui me seront utiles au cours de ma carrière professionnelle.

Je rédige un mémoire de Master sur la régulation des jeux vidéo (on ne se refait pas) et lors de ma soutenance de fin d’études, je pitche un jeu vidéo éducatif en réalité virtuelle (on ne se refait vraiment pas).

Je découvre le monde professionnel chez Playdigious, un éditeur de jeux vidéo (on ne se refait toujours pas). J’y exerce mes premières fonctions en tant que communicant, en animant les réseaux sociaux, en assurant le service client, en rédigeant les dossiers de presse et en écrivant les fiches produits des applications. Et puis j’ai droit à des jeux gratuits sur mon smartphone, ce qui fait toujours plaisir.

Rédacteur communication institutionnelle
Travailler chez FDJ ne m’aura pas permis de gagner au Loto, mais j’y aurai au moins gagné l’expérience de la communication corporate.

➡️ Mes études terminées, je rejoins le service Communication institutionnelle de La Française des Jeux – encore des jeux, même si ce ne sont pas des jeux vidéo – un service au sein duquel j’exerce pendant quatre ans. Je suis en charge de l’administration du site Internet du Groupe, j’écris les tweets des comptes corporate, et je supervise la production de différents outils de communication : rapport intégré, brochures, vidéos… Le poste requiert de nombreuses casquettes, mais celle que je mets le plus à contribution est ma capacité à rédiger (on ne se refait décidément pas).

Un revenant normand puis un rédacteur freelance à Rouen

Nous voici donc à la partie qui vous intéresse le plus (outre la question « Est-ce que tu aimes la nourriture épicée ? », à laquelle j’ai déjà répondu) : ma vie de rédacteur freelance !

Car arrive alors le confinement de 2020, qui me plonge dans un très long moment d’introspection (oui, je sais, rien d’extraordinaire, tout le monde s’est interrogé sur le sens de la vie pendant le confinement, mais c’est ma page « Qui suis-je ? » donc c’est normal que je force le trait sur mes moments de doute à moi, non ?).

Je comprends que tout mon parcours jusqu’ici a toujours tourné soit autour l’écriture, soit autour du jeu vidéo, soit autour des deux à la fois. Je décide alors de m’orienter vers une voie professionnelle qui me permettra de concilier ces deux passions, en devenant rédacteur indépendant.

En parallèle, je décide de changer de cadre de vie, en revenant à mes premières amours normandes et à la charmante et paisible ville de Rouen, dont j’apprécie le calme et le charme (et voilà que je me mets à faire des rimes).

Rédacteur SEO premium
Pas peu fier d’avoir obtenu la note maximale à l’issue de ma formation en rédaction web SEO, j’ai encadré mon attestation au-dessus de mon bureau, non pas par vanité, mais pour me donner confiance en moi chaque jour.

Pour m’accompagner dans ce changement de vie, je décide de suivre la Formation Rédaction Web de l’incontournable Lucie Rondelet : un parcours très enrichissant qui m’apprend toutes les bases du SEO, le référencement sur les moteurs de recherche, ou l’art d’écrire pour séduire Google (un peu) autant que les lecteurs (surtout). J’y prends tellement goût que je deviens, à mon tour, coach au sein de cet organisme, où je forme et j’accompagne de futurs rédacteurs indépendants dans leur reconversion.

Je réalise mes premières missions de rédaction. Je mets à contribution mon expérience pour écrire des articles de blog sur des thématiques diverses : l’immobilier, l’automobile, les animaux, le tourisme… Doté d’un esprit curieux et avide de savoir, j’apprends à adapter ma prose à ces sujets si différents les uns des autres.

Toujours animé par l’envie de raconter des histoires, je mets ma plume imaginative au service d’entreprises qui souhaitent réaliser leur propre storytelling : je rédige des fiches produit, des articles et des pages « À propos » telle que celle que vous lisez actuellement, en tâchant de mettre en lumière le parcours d’entrepreneurs et de blogueurs.

Enfin, définitivement passionné par le jeu vidéo, je me spécialise dans ce domaine, et je mets mes compétences de rédacteur à contribution pour différents acteurs du secteur : des sites marchands, des entreprises du gaming, des médias spécialisés… Et ce faisant, j’ai la satisfaction et l’honneur d’exercer le métier de mes rêves.

➡️ Ainsi s’achève mon témoignage de rédacteur freelance à Rouen ! J’espère que ce récit vous en aura appris un peu plus sur moi — et si vous souhaitez en savoir davantage, vous pouvez continuer à parcourir ce site, mes blogs ainsi que mes réseaux sociaux. Et si vous souhaitez que l’on discute (de ma vie, un peu, et de vos projets, surtout), vous n’avez qu’à cliquer sur le bouton ci-dessous.


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